Ça fait très longtemps que j’ai envie d’écrire cet article, et ça fait aussi très longtemps que j’attends pour le faire.
J’ai attendu car comme souvent, je voulais être sûr de l’écrire au bon moment, de la bonne façon et surtout attendre d’en savoir assez pour qu’il soit le mieux possible, voire « parfait » :)
Mais récemment, j’ai pris la résolution de ne plus laisser mon perfectionnisme m’empêcher de passer à l’action (voir l’article « je ne suis pas parfait et c’est parfait »)…
…et je profite donc que le thème de la croisée des blog du mois de septembre soit sur la dépression pour enfin écrire cet article.
Ce mois-ci, c’est Dominique du blog choisir le bonheur qui l’organise, vous pouvez voir l’article de lancement ici.
La dépression et moi : une grande histoire d’amour !
Vous le savez sans doute si vous suivez ce blog, mais il se trouve que je suis assez bien placé pour parler de la dépression, puisque j’ai justement dû y faire face il y a quelques années.
Et pour être complètement honnête, j’ai même du y faire face 2 fois !
La première fois, j’avais 20 ans, et la 2ème fois … 21 ans :)
Une erreur fréquente…
En fait, après ma première dépression, j’ai réussi à aller mieux notamment grâce à tout ce dont je parle sur Vers une vie sereine.
…mais j’ai fait une erreur courante qui a été de me croire sorti d’affaire trop vite… croire que la guérison était acquise.
J’allais mieux et j’ai donc arrêté tous mes efforts presque du jour au lendemain.
Grave erreur :)
- J’ai arrêté de travailler sur moi,
- J’ai arrêté de pratiquer tout ce dont je parle sur ce site,
- J’ai repris les mauvaises habitudes…
…et ayant en plus pris un chemin de vie qui ne me convenait pas (travail dans la grande distribution), il ne m’a pas fallu très longtemps pour rechuter !
Après ça, je me suis relevé, encore, et je me suis remis en quête de sérénité avec encore plus de détermination.
J’ai remis en pratique ce que je connaissais déjà, et j’ai continué à chercher, à apprendre, à travailler sur moi… et je n’ai plus jamais arrêté depuis.
Bref tout ça pour dire que je connais bien la dépression :)
Quelques points essentiels à comprendre sur la dépression
Alors je suis loin d’être un médecin, je n’ai pas fait d’étude de médecine, et je ne prétends pas les remplacer…
…mais c’est juste qu’après des années à chercher des solutions (j’en ai aujourd’hui 26), après des années à passer la majeure partie de mon temps à me pencher sur ces problèmes, à apprendre, à lire, en français ou en anglais, à expérimenter…
…on peut dire que j’ai obtenu l’équivalent de quelque chose qui pourrait s’appeler un « master degree of Vie Sereine » :)
Bref avec ce super faux diplôme en poche, il y a quelques points que j’ai compris, qui m’ont considérablement aidé, et que j’aurais aimé qu’on m’explique au moment de mes dépressions !
Ça m’aurait probablement permis :
- de m’en sortir plus vite
- de mieux comprendre la nature du problème
- de trouver plus facilement des solutions
- donc d’avoir plus de motivation
- et ainsi d’éviter de rechuter
C’est pour vous permettre tout cela que j’écris cet article (et les autres aussi d’ailleurs).
Alors qu’est-ce que j’ai compris?
Après toutes ces années, j’ai donc fini par comprendre quelque chose d’essentiel qui a considérablement simplifié les choses pour moi :
La dépression, la crise d’angoisse, l’anxiété généralisée, le burn out…
…tout ça sont principalement le signe d’un épuisement total !
…un épuisement physique…
…un épuisement psychique…
…un épuisement spirituel…
Parfois c’est surtout l’un, parfois surtout un autre, et parfois c’est un peu des trois à la fois, mais dans tous les cas, c’est un problème lié à la fatigue.
Comme on le verra juste après, il y a de très nombreuses causes qui peuvent conduire à cet épuisement…
…mais d’abord, pourquoi est-ce que je dis que c’est surtout une histoire de fatigue?
Le corps possède une batterie et une réserve d’énergie
Sur certains points, notre corps est un peu à l’image d’une voiture : il a besoin d’une batterie et d’essence pour fonctionner.
Sans essence ou si la batterie est vide, la voiture ne démarrera pas.
Une batterie en plus ou moins bon état…
Reprenons l’image de la voiture.
Au moment où on l’achète, la batterie va être plus ou moins de qualité.
Elle va par exemple se charger et ou se décharger plus ou moins vite, avoir plus ou moins de résistance : ça dépend de la qualité de la marque, si on l’achète d’occasion ou pas etc.
Au niveau du corps, c’est pareil.
On vient au monde avec une batterie :
- plus ou moins en état de fonctionner
- plus ou moins remplie
- plus ou moins résistante
- qui se charge et se décharge plus ou moins vite.
Là aussi ça dépend des conditions :
- ça dépend de l’état de santé de notre mère
- de la qualité de la grossesse
- du pays dans lequel on vient au monde
- de nos conditions de vie
- de notre génétique etc.
Au niveau du corps, cette batterie, ou ces batteries car on en a deux, se situent juste au-dessous des reins et s’appellent « les glandes surrénales ».
Ce sont elles par exemple qui sécrètent l’adrénaline et le cortisol dans une situation d’angoisse et donc qui générent des symptômes (voir cet article)
Ce qu’il faut retenir, c’est qu’on vient au monde avec plus ou moins une bonne batterie ;)
Et sans elle, notre corps ne pourrait fonctionner, de la même façon qu’une voiture ne peut pas fonctionner sans sa batterie.
Mais ce n’est pas tout !
Qu’est-ce qu’il faut d’autre pour faire fonctionner la voiture?
Le corps a aussi besoin d’énergie !
Comme pour une voiture, il a lui aussi besoin d’essence sans quoi il ne peut pas fonctionner.
À quoi lui sert cette énergie exactement?
C’est là un des points essentiel : cette énergie lui est nécessaire pour tout !
- Chaque action que le corps doit faire
- Chaque mouvement
- Chaque pensée
- Chaque respiration
- Chaque battement de coeur
- Chaque message entre les différents organes
- Chaque mécanisme du corps (digestion, assimilation, élimination, bon fonctionnement du cerveau)
…ils ont tous besoin de cette énergie pour fonctionner !
Tous interagissent et communiquent entre eux à travers un grand réseau électrique, et sans batterie, sans énergie, c’est comme si internet était débranché.
Il y a plus d’électricité !
À nouveau c’est un peu comme pour une voiture :
Vous pouvez avoir la plus belle et la plus puissante des voitures, mais sans batterie ou sans essence : elle ne démarrera pas, n’avancera pas, ne freinera pas…
Elle ne servira à rien !
À part pour décorer peut-être, mais j’imagine que vous ne voulez pas d’une voiture juste pour faire joli…
… tout comme vous ne voulez pas d’un corps juste pour décorer !
Vous voulez un corps qui fonctionne, pour vivre, créer, avec des mécanismes qui fonctionnent ! Vous voulez d’un corps avec de l’énergie et une batterie en bon état !
Et la dépression dans tout ça?
On y vient :)
Le problème, c’est que si on ne prend pas soin de cette batterie, si on tire trop dessus, si on ne la recharge jamais… elle va petit à petit se dégrader, se décharger et marcher de moins en moins bien.
Et quand cette batterie finit par être vidée, c’est tout le corps qui commence à partir en vrille !
Le corps n’a plus l’énergie qu’il lui faut pour fonctionner correctement : il y a des faux contacts, les fusibles sautent et tout le réseau électrique est à plat !
Donc non seulement on est complètement épuisé, mais en plus le corps commence à faire n’importe quoi !
- On va par exemple avoir le cœur qui se met à battre bizarrement, le système nerveux qui va s’accélérer sans raison.
- On va aussi avoir de nombreux problèmes en ce qui concerne le fonctionnement de nos hormones (les messagers chimiques du corps) :
- L’adrénaline et le cortisol vont être sécrétés de façon abusive, causant stress, angoisse et anxiété …
- …et ces 2 hormones vont en plus empêcher, par la même occasion, la sécrétion d’ocytocine et de mélatonine, les 2 hormones nécessaires au bonheur et au sommeil !
À partir de là, le cercle vicieux est vite déclenché :
Moins de mélatonine sécrétée, et un système nerveux accéléré, donc on dort moins bien, donc on est encore plus fatigué, donc les batteries fonctionnent encore moins bien…
…moins d’ocytocine aussi, donc on est déprimé, triste, donc on a des pensées négatives, donc on fatigue encore plus, donc les batteries fonctionnent encore moins bien…
…plus d’adrénaline et de cortisol, donc le système nerveux accélère, donc on commence à avoir des symptômes bizarres, donc on angoisse, on déprime, donc on fatigue encore plus, donc les batteries fonctionnent encore moins bien…
etc etc etc.
Tout ça jusqu’où?
La dépression, la crise d’angoisse, l’anxiété généralisée, le burn-out…
…ou un peu des 4 à la fois !
Le corps n’a plus d’énergie vitale, et si on ne sait pas quoi faire, la situation empire rapidement jusqu’à la dépression.
L’énergie est la clef !
Mais la bonne nouvelle c’est qu’il y a des solutions !
On peut en sortir, et on n’est pas obligé d’en arriver jusqu’à la dépression.
Pour cela vous devez surtout prendre soin de votre batterie, et apporter de la bonne énergie à votre corps pour qu’il puisse fonctionner le mieux possible.
Et il me reste à vous expliquer comment faire :)
Le souci c’est que je ne pensais pas que l’article serait aussi long, et j’ai encore beaucoup à dire, donc je vous propose de faire une seconde partie.
Je vous expliquerais notamment :
- Quelles sont toutes les choses qui fatiguent votre corps
- Quelles sont celles qui au contraire lui apportent de l’énergie
- et un petit bonus : comment faire pour utiliser cette énergie de façon plus optimale, notamment grâce à un certain type de plantes
On voit tout ça dans la suite de cet article !
>> cliquez ici pour lire la deuxième partie de l’article avec les solutions !
Un article intéressant une fois de plus, qui arrive à point nommé :)
En ce qui me concerne, ce qui me vide de mon énergie, c’est la focalisation sur mes pensées qui peuvent être bien souvent négatives, surtout à l’arrivée de l’automne, mais aussi la focalisation sur mes symptômes (« Je tremble un peu, c’est que je m’agite > ça va pas aller > je vais angoisser > je vais faire une crise d’angoisse > je ne vais plus rien gérer… et patatra !).
Ton blog est hyper intéressant et comme toujours, il m’est d’un grand réconfort :)
Une idée d’article qui pourrait vraiment aider, je pense: comment se préparer à l’arrivée de l’automne-hiver, qui est souvent pour beaucoup, une grande source d’angoisses, de déprime, voire plus… Quel programme proposerais-tu si c’était toi ?
En tous les cas, merci pour ce nouvel article, je passe « chez toi » très régulièrement !
Bonne continuation.
je suis d’accord avec Aurelie , surtout son 1 er paragraphe !!! il n’y a jamais le silence dans ma tete !!! c’est épuisant .. d’autant que ça n’est jamais du positif … L’idée de se préparer a l’hiver est très bonne aussi
Bonjour Aurélie ! Pour ma part, pour affronter l’hiver qui approche, je pense à toutes les activités agréables qui y sont liées : vin chaud, repas de famille, noël et les villes décorées… Pour ce qui est de Janvier et Février je pense qu’il faut se préparer un vrai cocon chez soi autour du bien-être (huiles essentielles qui détendent, yoga, regarder des séries humoristiques…). Et surtout prendre le temps d’aller boire une boisson chaude et gourmande avec un ou des amis dans un endroit sympa !
Sébastien, c’est un très bon article et merci pour tout ce partage comme d’habitude. Tu n’imagines pas à quel point cela apporte comme réconfort ! Cet article me sert de rappel à l’ordre : dernièrement j’ai un peu laissé tomber tout ce qui m’a permis d’être plus sereine. Mais je vais vite me rattraper !
xoxo
Merci Vanessa pour tous tes conseils. Effectivement, je pense qu’il faut s’organiser des espaces de bien-être, ce n’est pas toujours évident selon notre mode de vie parfois. Cependant un petit moment de détente entre amis, une sortie, une activité sportive, un massage, des balades en forêt, des associations, des activités comme le tricot, la peinture, le bricolage… Bref, tout ce qui peut occuper notre esprit, nos mains et nous valoriser.
Très bel article, encourageant et très riche. Merci!
entièrement d’accord sur la focalisation sur la pensée de l’angoisse qui reste toujours « planquée » au fond du cerveau à tout moment ,d’ou le cercle vicieux qui empêche d’aller vers les autres ,d’entreprendre même si on a envie car on se dit immédiatement :et si je ne vais pas bien? résultat on bloque tout. Et même si on dort on « mouline » toute la nuit l’Idée que l’on se sent mal. de temps en temps un moment ou une journée de « grâce »….et c’est reparti.
pour ma part j’angoisse pour le boulot et comme les 1ères vacances arrivent depuis 6 ans…j’angoisse à me demander comment cela va se passer et comment ne pas cogiter encore plus.
Je suis dans la même situation
Bonjour Aurélie,
votre post date un peu aussi j’espère que les choses se sont arrangées pour vous.
En ce qui me concerne je suis dans cet état d’esprit depuis 10 mois, moi aussi je focalise sur mes symptômes déclenchant ensuite des crises d’angoisse et me trouvant coincée dans un cercle vicieux. Les médecins n’ont pu m’apporter comme solution que anxyolitiques et antidépresseurs que j’ai fini par abandonner.
J’hésite actuellement à consulter une hypnothérapeute.
Si vous vous en êtes sortie, auriez-vous des conseils à me donner ?
Merci d’avance
Cordialement
Jacqueline
Ton article est très intéressant et décrit à la perfection ce que l’on peut ressentir. Les palpitations, l’anxiété,l’angoisse, un épuisement incontrôlable.. Pour ma part ceux sont les autres qui vident mon énergie. Des personnes négatives, ou des personnes issues de notre cercle social qui vont tirer sur la corde sensible.
D’où la résolution de s’entourer que de positif et de s’éloigner de tout ce qui nous semble néfaste :)
En y réfléchissant je pense également que le perfectionnisme et une trop grande remise en question peut influer sur l’épuisement. Mettre dès fois son cerveau sur pause, ça ne devrait pas faire de mal!
Merci pour cet article Seb, bonne continuation!
Salut, c’est un bon article sur la dépression, juste faut bien comprendre qu’il existe une différence entre le burn out et la dépression, j’ai exercé un métier exposé quotidiennement aux problèmes de burn out
Je sais ce que c’est de faire un Burn out, et les personnes ne dépriment pas pour autant, pour avoir déjà fait une dépression et ça n’était pas la même chose, pas les mêmes symptômes et effets, et surtout pas les mêmes moyens pour en sortir
Il y a une différence sur le plan physiologique, et de production d’hormones cortisol qui sont plus présentes chez les personnes qui dépriment. Donc attention à ne pas mettre dans le même panier, même si c’est certes une source d’épuisement…
Merci pour cet article précieux, et les commentaires ci-dessus, j’aime
Comment ne pas tenir compte des traumatismes de notre enfance qui créent des blocages ? Pour ma part , c’est la lutte contre ces mêmes blocages qui use toute mon énergie
JUSTEMENT! Je crois sincèrement que tous les petits, moyens et grands problèms non résolus (depuis l’enfance) nous empoisonnent l’existence et qu’un moment donné bang! un événement survient (après d’autres plus petits) appellé élément déclencheur et survient la dépression. On n’est plus capable d’en prendre! D’oû l’importance de faire un grand ménage de notre vie…
Je confirme…. c’est pareil pr moi, un trop plein de choses liées à l’enfance, l’adolescence et la peur de refaire ces crises d’angoisses ou d’avoir une maladie. ..
Moi, ce qui vide mes batteries, c’est la vie monotone et déshumanisée que l’on est poussé à vivre, métro, boulot, dodo…celle qui nous empêche de créer, qui nous formate, nous canalise, afin d’exploiter toute notre énergie et notre temps. Celle qui nous robotise gentiment, afin de nous rendre rentable et docile. La routine qui nous rend frustré le soir quand on rentre épuisé. Je ne suis pas anarchiste ni anti-social, mais juste à l’étroit dans ce mode de vie que l’on est souvent malgré soi poussé à avoir. L’endormissement général qui commence dès l’école, afin de bien nous préparer à une vie de servitude. C’est un peu comme avoir une Ferrari est devoir respecter les limitations de vitesse. Rouler en ville, toujours à bas régime, ça épuise la mécanique, encrasse le moteur. Et cette sensation de ne jamais être à sa place… alors pour se ressourcer, se recentrer, on gratte du temps sur nos soirées, on se couche tard. On se vole du temps pour se permettre un peu de bonheur. (je dis « on » mais je parle pour moi, je suis peut être la seule). Donc ma façon pour me ressourcer c’est celle là. Je profite de mes temps libre pour dessiner, faire de la musique, créer de toutes façons possibles…Pour moi, la création est un puits de pétrole. Une façon de faire du neuf avec rien. Faire naître quelque chose quand il n’y a plus rien. Ca c’est magique.
J’aime beaucoup ta vison des choses Kloe. Ca correspond plutot bien a ce que je pense, la difference c est que tu as trouve les mots…
exactement ça! c `est affreux de vivre en suivant ce chemin , qu on est un peu oblige de prendre, tout en haïssant deja l endroit ou ce chemin mènera .
bonjour kloé,
Je trouve que tu occupes ton temps libre de la meilleure façon possible : la créativité, rien de plus beau. C’est vraiment un puit de pétrole. Ce puits de pétrole est de toute évidence en toi et c’est magique !
Avoir la sensation de ne pas être à sa place, on le ressent tous, lorsque l’on veut modifier la situation telle qu’elle est. Il n’est pas necessaire d’avoir une ferrari « rouge » lol , lorsque la limitation est à 130 km/h, pour rouler sur nos autoroutes. Il suffit d’une voiture confortable, avec une batterie et de l’essence ;) pour aller ou bon nous semble. Et même, si rouler sur l’autoroute est routine, tu peux emprunter les départementales, les routes, les chemins a ton gré pour sortir de la routine (du boulot, dodo, metro). Descendre une station plus tot et marcher, te coucher avec une musique relaxante differente chaque soir, créer une complicité au boulot, entrevoir l’evolution de ton poste, rêver sa vie tient à peu de chose, du moment que tu te sers de ta réalité.
Un peu d’imagination ma chere kloé ;) et tout te semblera different.
Car la musique, le dessin viennent de l’imagination. Tu le dis si bien, créer de toutes les façons possibles… c’est magique ! Parce que nous sommes magiques.
Cordialement,
Bonjour Kloé,
J’aime beaucoup votre point de vue. Entièrement d’accord
Chloé, je suis d’accord avec toi; je suis en pleine dépression, j’ai été arrêté trois semaines pour recharger les batteries, j’ai été diagnostiqué dépressif. Je prends anxiolytique et anti-dépresseurs; quand on me voit je n’ai pas l’air dépressif, plutôt jovial, mais je fais cette dépression sous la forme de crises d’angoisse occasionnelles.
J’ai 34 ans, j’ai un bon job, je vis à Paris et je crois que pour moi la frustration la plus grande est le manque de liberté dans ma vie et de percevoir concrètement mon utilité dans la société.
Je sortais beaucoup auparavant après le travail pour avoir l’illusion que j’étais libre.
Aujourd’hui, je ne sors plus pour être en forme et je me couche plus tôt mais c’est au détriment de ma vie sociale.
Merci Sébastien, pour le blog, je suis tes précieux conseils, je suis heureux de lire les commentaires qui me permettent de comprendre que je ne suis pas seul dans cette situation. Pour ton info Sébastien, mes crises d’angoisse surviennent quand je me dis à moi-même que quelque chose de terrible va m’arriver, que je me prépare toujours au pire, j’alimente mon angoisse.
Je pratique yoga, chi gong, je vois une psychanalyste et un psychiatre, je suis hyper motivé pour m’en sortir. J’ai quitté ma copine et je vais changer de travail et faire ce que je veux vraiment.
Bon courage à tous
Salut Jean, je me retrouve un peu dans tes dires. Je prends sur moi depuis longtemps et j’essai de ne rien laisser paraitre au travail surtout mais je vais exploser! J’ai honte je crois et je n’assume pas cette depression. Pourtant je n’arrive plus à me concentrer sur mon travail et je n’ai plus cette routine parisienne. J’aimerais faire un break et changer de taff aussi.
Bravo Kloé, entièrement d’accord avec toi à tous niveaux. Et le pire dans tout ça c’est que rien n’est figée, tout est modifiable mais seul on se sent impuissant.
Quand j’étais petit j’aimais beaucoup la devise de la France de Liberté, Egalité et fraternité. Malheureusement, la réalité est loin d’être celle la. Je suis loin de me sentir libre et j’ai bonne connaissance que je reste un privilégié dans ce monde
Bonsoir à toutes et à tous,
J’arpente ce site et ces commentaires depuis quelques mois. J’ai le tort d’y revenir seulement quand ça va mal. Mais en plus des excellents articles de Sébastien, merci Sébastien (!!), j’y trouve à chaque fois le réconfort de voir que je ne suis pas seul.
Kloé, Jean, je vous comprends ! J’ai 34 ans moi aussi. Je suis en dépression également et grâce à ma psy et un test de QI, j’ai été diagnostiqué « surdoué extrême » (QI supérieur à 145). J’ai fait une décompensation psy assez violente et j’essaie peu à peu de remonter la pente, d’apprendre à découvrir qui je suis vraiment et d’accepter mes capacités et surtout leurs effets pervers (hypersensibilité, hyper-empathie, hyperesthésie, hypertout quoi.). Je dois lutter contre ma curiosité naturelle qui, bien que je n’aie plus la télé depuis très longtemps, me pousse à m’informer, pour comprendre et décortiquer les infos pour savoir, savoir, découvrir la vérité, etc. Je dois apprendre à ne plus être dans ma tête mais à revenir au corps. Comme toi Kloé, j’aime créer, mais je dois veiller à doser chacune de mes activités, surtout celles qui sollicitent l’intellect. J’ai commencé la méditation, la sophro, chaque jour je me dis que je dois me remettre au sport parce que je sais que ça serait très bénéfique, jouer de la musique m’aide beaucoup aussi. Et puis des activités toute bête, avec les mains, en ce concentrant sur ce qu’on fait… Par exemple, parfois, je trouve un sujet de discorde avec mon électroménager, un truc qui fâche, le ton monte, je bâillonne le lave-vaisselle et je frotte les assiettes moi-même, comme un con, pour me faire du bien. Faire la cuisine, avec des vrais légumes. Et des vrais couteaux qui coupent. Les doigts. Marcher dans la nature, respirer l’air du dehors, toucher un arbre, humer l’odeur de la terre mouillée, poser le pied dans un truc pas net. Autant de petits plaisirs qui ramènent à la simplicité et au concret, parfois malodorant, mais tellement « terre à terre » que c’en est salutaire. Faire un puzzle, ou du point de croix, ça peut paraître très chiant au premier abord, ça peut paraître très moche au deuxième abord, mais on s’en fout on n’a honte de rien (pas obligé de le mettre sous cadre) et surtout, ça vide tellement la tête !!
Voilà. Il faut dormir maintenant. Merci encore Sébastien ! Merci à vous tous pour vos commentaires positifs !
Merci à toi pour ce partage ! Je suis sûr que ça donnera quelques idées à d’autres lecteurs. En tout cas moi ça m’en donne :)
jaime beaucoup ce que tu as ecrit Bo je me dit quil y a encore un espoir finalement. Comment gerez vous les crises d »angoisse vous?
Oui c est la question ..ma question comment gérer les crises d angoisses
Sebatien bonsoir, c’est à la recherche de solution que je suis tombé sur votre site. J’y vois dejà des debuts de solutions.Depuis longtemps je me sens fatiqué physiquement avec beaucoup d’anxiété que je n’arrive pas à expliquer. Je travaille bien, je suis apprecié, mais j’ai peur de parler et ne cesse d’admirer comment les autres circulent comme des poissons dans l’eau. En lisant sur votre site et en pratiquant entre autres la respiration abdominale, je souhaite bien circuler comme un poisson dans l’eau et au lieu de me chercher je chercherai de l’appat.
Merci pour ton site
Bonjour, merci à toi pour ton commentaire et ton attitude positive face à l’angoisse.
Bon par contre je n’ai pas complètement compris la métaphore du poisson… mais je suis sûr que c’est très positif :)
Bonjour à tous,
Pour ma part, j’ai commencé des crises de paniques il y a 2 ans et demi, ….et depuis je galère à m y retrouver dans toutes ces pensées négatives et angoissantes que mon cerveau » fabrique » presque continuellement. Des fois, j’ai un moment de répits , je diminue mes anxiolytiques …quelques jours après ça reprend. Et donc déception de voir que ce n’est toujours pas finis. J’angoisse quand je n’ai rien à faire! C’est n’importe quoi! Je suis négatives à fond. Je travaille beaucoup sur moi, j’ai repris mes loisirs (peinture, ….dans le créatif) mais malgré tous mes efforts , c’est encore là. Du coup, je réfléchi à ce qui ne va pas, ce que je dois changer, etc….j’en ai vraiment assez de ce bazars. Je perd confiance en moi et l’impression de ne pas savoir où est ma place, de ne plus savoir qui on est. C’est horrible toutes ces mauvaises sensations. J’ai l’impression de me battre tous les jours contre moi même. Et le fait de bosser , rentrer , de faire toutes les choses qu on doit faire puis dodo , ça me déprime encore plus. Mais je ne peux pas non plus faire quelque chose de créatif tous les jours! Des fois quand jsuis vraiment pas bien , j’ai même du mal à me motiver à faire mes loisirs. L’enfer! Je ne baisse pas les bras mais j’aimerai vraiment en finir avec tout ça.
Bonsoir,
Ton commentaire datant de 2014, j’aurais souhaité savoir si tu avais trouvé une solution pour te sentir mieux. Je suis exactement dans la même situation que toi et je galère depuis 2 ans comme ça (psy, médicaments,AD,anxiolytiques,…)
Si tu peux m’aider je suis preneuse de conseils.
On peut pas dire mieux,c’est ce que résume bien fight club »nos dépressions c’est nos vies »,et dieu sait que c’est vrai,depuis gamin on est comme des poulets en batterie,les plus belles années de notre vie on les passe à angoisser sur des bancs d’écoler et perdre de notre temps à apprendre des choses que l’on sait déjà ou qu’on est pas du tout en âge de comprendre…Bref et le cerveau prends un pli et on devient complètement neurasthénique,on nous prépare à rien et tous les problèmes qu’on aura à affronter nous sembleront d’une absurdité totale car en fait abstraits(Factures,papiers etc….c’est du vent,des millions d’hommes ont vécu sans remplir un seul papier de leur vie…)
Très bienn écrit Kloe un ressenti vrai !!!
Bonsoir Sébastien, merci pour cet article très intéressant.
Pour ma part, ce sont mes pensées négatives. Je me focalise trop sur ces pensées et elles vident mon énergie.
J’essaie de recharger les batteries en faisant des activités extérieures comme la danse ou la couture. Je suis tellement à fond dans ce que je fais que je ne me focalise plus sur ces pensées négatives. Ça dure un temps mais malheureusement elles reviennent très vite.
A bientôt
Super article comme toujours. Intéressant de voir que je ne suis pas la seule à avoir cru être sortie de dépression, arrêté les efforts et avoir replongé aussitôt… Merci de nous rappeler aussi que c’est normal si ce n’est pas si facile que ça d’en sortir. Ce qui m’aide beaucoup quand je suis fatiguée à reprendre de l’énergie c’est me balader au contact de la nature (fôret, lac, mer suivant ce qui n’est pas loin), surtout si je me pose et que je me contente de contempler le paysage autour de moi. Ou alors dessiner, ou toute activité artistique, c’est magique, ça recharge vraiment mes batteries. Je souhaite à tout le monde de trouver une activité qui permet de refaire le plein d’énergie car c’est très important en effet.
Bye
Merci Sébastien, je passe régulièrement sur ton blog et tes articles m’aident beaucoup. A bientôt.
Merci pour votre article. Ce qui a été la cause de mon épuisement à d’abord été un trop grand investissement dans mon travail. L’année dernière, je me disais « si tu continue comme ça, tu vas tomber malade ! » Et voilà c’est chose faite !!Je pensais à une maladie physique plutôt que psychique …
L’autre raison de mon épuisement a été de vouloir être parfaite : au boulot, avec mon mari, avec mes enfants, avec mes amis, … Faire toujours plus pour faire toujours mieux !!
Il y a tout de même des choses qui me ressourcent mais je sens bien que la batterie n’est plus aussi chargée qu’avant : le sport, du temps en famille ou avec mes enfants, … Je dors encore très bien et sans médicaments.
Voilà pour mon témoignage.
Bonjour, bravo pour cet article qui reprend un peu tout à la base. Oui on se croit sorti d’affaire, et puis un matin : tout est gris et ça recommence, angoisse, peur incontrôlable, mal être, pourquoi comment, etc… Ce qui me bouffe mon énergie, c’est la fermeture à l’autre, à l’Amour, à la main tendue. Les gens se plaignent que la vie est dure, mais dès qu’on essaie de communiquer, rideau, méfiance, c’est suspect quelqu’un qui sourit, est prêt à rendre service, à faciliter la vie, Alors je me renferme et je rumine, ça me rend triste et mon énergie s’en va. Il faut s’accrocher pour ne pas plonger, et finalement, peut être faut il plus penser à soi qu’aux autres ? Lâcher prise, se détacher…
Merci Sébastien pour cet article et cette aide que vous apportez aux autres. Le malêtre est quelque chose de tellement actuel.
Oui je suis d’accord avec ce que dit Françoise quant à une forme de solitude intérieure. Les relations à l’autre actuellement ne me semblent effectivement pas facile à mettre en place…
Bonjour Françoise,
je suis entièrement d’accord avec vous, et pourtant, je fais partie des « gens méfiants ».
Il m’arrive souvent de baisser le rideau lorsque quelqu’un m’aborde gentiment, mais malgré les apparences, c’est à cause de la timidité (peur de me faire remarquer, de ne pas maitriser la situation). Mais heureusement qu’il y a des gens comme vous!
Bonjour Sébastien,
Merci pour cet article très intéressant. En tant qu’art-thérapeute, je partage ton avis sur beaucoup de point!
J’ai été attiré par la similitude entre ton titre et le sous-titre d’un article que j’ai publié récemment pour un événement inter-blogueur : « L’être humain face aux changements : entre activités naturelles et culturelles. – Luttez contre le stress, la déprime, la dépression ou le burn-out. »
Un tout grand merci pour tes articles et ton partage.
A très bientôt
Frédéric
Bonjour,
J’ai l’habitude de lire les articles parlant de stress, developpement personnel etc, mais la présente m’a tenu assez lontemps et m’a ouvert les yeux. En réponse à votre besoins, pour moi ce qui dépenses mon energie c’est surtout le surgissement des evènements negatifs passés dans ma mémoire et le retour des émotions correspondantes (pour moi collère et irritation inexplicable); et ce qui me recharge c’est le sensation de l’amour de quelqu’un (mon mari, mes enfants, ma famille) et l’appréciation d’une action productive que j’ai réalisée
Merci
Bonjour,
Merci de continuer à donner des informations précieuses au quotidien !
Ce que j’ai compris de mes angoisses et donc de cette grande perte d’énergie se résume en quelques mots : le manque d’intégrité. A force de ne pas respecter mes propres valeurs, à force de ne pas m’écouter, de ne plus savoir ce que je veux au plus profond de moi, à force de ne plus me respecter, de faire en fonction des autres et pas en fonction de moi, à force de toutes ces petites choses qmon corps à dit STOP JE N’EN PEUX PLUS!
Respecter ses valeurs et casser des illusions qui ne sont pas en accord avec soi, voilà pour moi la clé de l’énergie !
l anxiete survient pour nous protéger. pour qu on soit plus vraie et en total accord avec notre être profond.pour qu on se retrouve,
l anxiete nous pousse a faire 2 choses: fuir ou agir!
moi je suis encore dans la fuite, c est ce qui use mes batteries , je crois.
ce qui me donne de l`energie c `est tenter de découvrir et d accepter qui je suis, ce que je veux …. bref tenter de devenir moi
Bonjour
En réponse à votre question et suivant mon expérience.Ce qui vide mon énergie est la pensée négative.Et le fait de penser positivement me ravive et m’apporte bcp d’énergie
Voilà! J’espère ma réponse vous ai favorable dans vos articles que je trouve trop motivants et trop intéressants
Mes amitiés
Nabila
Bonjour Sébastien,
J’ai hâte de lire la suite de cet article.
Merci déjà pour toutes ces explications claires. Pour ma part, ce qui me vide, ce sont des pensées négatives qui génèrent un mal être général et de grosses angoisses. Et comme tu le dis, dès qu’on a l’impression que ça va mieux, on a tendance à relâcher nos efforts et c’est reparti. J’ai encore bcp de mal à gérer tout ça, j’apprends tout doucement, mais que c’est long !!!
Bonjour,
Me concernant, les choses qui vident le plus mon énergie sont les émotions négatives qui parfois me jouent des tours et rester assise pendant plusieurs heures.
Ceux qui m’en apportent le plus sont les sports surtout les AquaSports, puis pratiquer la respiration abdominale, lire et penser à des choses positives.
Voilà ;)
Bonjour,
Encore un bon article, Merci ;-)
Je suis complètement d’accord avec kloé, j’ai vraiment le même sentiment d’être robotiser dans cette société. C’est pourquoi je suis étonné que personne ne parle de son travail, car pour moi ça fait bien partie des angoisses et facteurs stressant dans ma vie. Obligation de rentabilité, de réussite, sans compter que l’on ne fait pas forcement ce qu’il nous plait mais que de nos jours il est difficile de changer. Bref, le travail est usant.
Je réfléchis à une reconversion professionnelle et se dire que rien n’est figé fait un bien fou pour mon esprit !
Et pour bien montrer que personne n’est pareil, je suis ravi de voir l’hiver arriver, habitant dans le Sud, je n’en pouvais plus des fortes chaleurs et du sentiment oppressant que cela fait sur mon corps, la descente des T° est un bonheur pour moi, comme quoi on peut tout voir différemment et trouver du bonheur dans tout. ;-)
Ravi de lire tes articles
Ce qui epuise mes batterie sont le négatif ( doute, souci, faux film …..) quand je ne suis pas en acccord avec moi meme . et se qui les recharge est de faire ce que j aime, de me faire plaisir, d etre avec ceux que j aime, donner du sourire , …
Bonjour Sebastien
je suis tout a fait d’accord avec les commentaires ecrits
ton article est tres interessant car je sors d’une depression et que cette saison me rend fragile, je vais prendre le temps de le lire car cela me fait du bien car ce n’est pas facile de comprendre la depression
merci Sébastien et bonne continuation
Bonjour
Je me suis effectivement retrouvee dans cet article.c’est vrai que lors d’une 1ère depresssion on oublie trop vite et a tort les bons reflexes qui nous ont aidé a nous en sortir.j’ai pour ma part j’ai vite été rattrapee par mes crises d’angoisse, mes idées noires.au moins j’ai compris ce qui m’etait indispensable pour mon mieux être: homeopathie, sophrologie, sommeil suffisant et bonne hygiène de vie!
Merci pour cet article et ce blog très interessant
Ce qui vide notre énergie sont les personnes ayant une mauvaise influence, les personnes qui vous font souffrir, faire les choses avec obligation et surtout faire un travail non épanouissant juste pour le côté alimentaire. J’allais oublier surtout la PEUR.
ce qui apporte de l’énergie sont les amis, la famille, l’amour d’un partenaire, et vivre des choses qui nous plaise. LACHER PRiSE
Bravo pour cet article.
Ce qui m’amène a la dépression c’est une introspection trop fréquente ou au contraire l’oubli de ma personne.
J’explique: je ne sais si cela est propre aux dépressifs mais j’alterne entre des périodes d’activités intensives qui m’aident a oublier ma rumination permanente mais qui me conduisent irrémédiablement droit a la dépression et des périodes de calme mort engendre par un épuisement moral d’avoir le sentiment d’être handicapé dans mes actes et mes mouvements. Dans le premier cas de figure, mon corps épuisé par ce rythme effréné, m’envoie des signaux d’alarme justifies certes, mais qui me tétanisent (crainte de rechuter dans le trouble panique). Et c’est ainsi qu’ayant peur de voir réapparaître les symptômes sans que personne ne puisse me venir en aide en cas de malaise, je m’enferme dans un mutisme négatif et persistant.
La dépression se nourrit effectivement de nos mauvaises habitudes de vie et puise certainement sa source dans un manque de confiance souvent relié a l’enfance ou est inné (quoi que j’en doute fortement).
Parfois même l’idée de devoir réapprendre a vivre en prenant soin de sa personne, représente une épreuve car elle touche un point existenciel essentiel : l’amour qu’on devrait se porter et l’empathie qu’on est censé pouvoir s’accorder.
C’est a mon avis le cœur du problème.
J’ai hâte de lire tes « solutions ».
Bonne journée a tous
Bonjour à tous et merci pour cet article,
Moi ce qui m’a épuisé et qui m’épuise encore et me fait tomber dans des attaques de panique et de l’angoisse continuelle ce sont les pensées négatives, mais surtout le fait que je ne me fais pas encore assez confiance, que je ne me suis pas assez respecté ou faite respecté, et que pour plaire à tout le monde je dis oui à tout ou presque en oubliant de faire mes propres choix. Je suis en plein changement mais c’est très long et difficile.
Bonne journée à vous tous
Muriel
Merci pour tous ces articles, Sébastien.
Je réagis particulièrement au témoignage de Géraldine qui me touche. Ces passages d’intense activité à un écroulement total me caractérisent aussi, avec la pensée permanente que quand je peux, il faut que j’en fasse le plus possible car j’attends, je crains les » descentes ». Je suis maman de trois enfants, j’ai un boulot, une maison, bref, une vie » normale « . Et je me dis que je ne peux rien lâcher alors quand je me couche en pleurant, j’ai honte, honte. Je ne parle à personne de ma » maladie « , j’ai même du mal à lui donner un nom. Je suis allée voir un psychiatre qui m’a dit au premier RDV » Mais Madame, la mère est le pilier d’une famille, si vous vous écroulez, tout s’écroule autour de vous » !!! Je ne veux plus de médicaments, les effets secondaires sont néfastes alors je lis avidement les articles de Sébastien et je teste petit à petit, le sport, la respiration abdominale, je pratiquais déjà car je fais du chant et je cherche une solution dans les plantes aussi en ce moment car j’ai besoin d’aide . Mais je reste en accord quand Géraldine parle d’empathie avec soi, je ne m’aime pas et ça vient de loin, il faut arriver à se pardonner, on n’est pas parfait et fuir , fuir les personnes négatives pour se tourner vers ce qui nous bien : le petit livret de Sébastien est au pied de mon lit.
Je me retrouve assez dans cet article … les hauts les bas ça me connait ! J’ai les armes pour rester en haut maintenant , sophrologie,
yoga , étude de Mon Moi , étude de l’éveil de la conscience ( » Quand la conscience s’éveille » Anthony de Mello ) avec l’aide d’ouvrages intéressants , de méditation et autres formes de réflexions et de repos par le lâcher prise … mais bien que je reste plus longtemps et plus souvent en haut … je redoute la faille je redoute le vide …
Merci pour tous ces conseils et les lectures qui me sont très bénéfiques.
J’ai fait plusieurs dépressions dont 3 TDS et prends des antidépresseurs depuis de nombreuses années. Les médecins ou les psy ne m’ont jamais aidée et ce n’est qu’après le conseil de ma fille (qui avait parcouru votre blog sur internet) j’ai suivi vos conseils. J’avoue que je suis très surprise de l’amélioration de mon état.
Ce qui me rend déprimée, c’est la solitude, le mauvais temps, de ne pas être utile, de ne pouvoir être valorisée par mon travail. Je suis à la retraite et je me sens bien quand je travaille, c’est-à-dire quand je peux faire des remplacements dans le métier que j’exerçais avant. Les personnes qui m’ignorent ou ne me répondent pas quand je leur dis bonjour me rendent très malheureuse. Pour me sentir mieux, je me suis inscrite à des cours de dessin même si je ne dessinais pas bien, j’ai appris et j’aime ce que je fais.
Encore un excellent article et hâte de lire la suite.
Je me retrouve un peu dans tous les commentaires, aujourd’hui je pense que je suis très fatigué psychologiquement, j’en peu plus … Ce qui me fait recharger les batteries sont la méditation, shiatsu, lecture, sport et relaxation en fin de compte des activités qui me permettent de mettre mon mental sur OFF. Et effectivement, on relâche très vite les efforts réalisés lorsque nous allons mieux, grave erreur.
Bonjour,
Ce qui m’épuise et peut par période cyclique m’angoisser, activer mon stress et mal dormir est souvent lié à mon rapport au travail (envie de trop bien faire, pas à ma place, pas de compréhension, pas de valorisation, bref une activité qui tire sur la corde sans sens réel).
C’est vrai qu’à ce moment, les pensées ne laissent pas tranquilles,
je suis irritable,supporte mal une proximité même aimante……
Bref chez moi c’est cyclique depuis quelques années et j’aimerais vraiment que cela cesse!
Bonjour,
Ce qui m epuise c est les personnes qui prennent toujours les choses du mauvais cote, qui sont de mauvaise foi, qui se mettent en colere sans que l on sache pourquoi, et qui n arrivent pas a se calmer. J en arrive meme parfois a ne plus ecouter les informations que ce soit a la radio ou tele car tout est negatif.Pour aller mieux, il faut un rayon de soleil, une douce musique et des personnes de bonne humeur a nos cotes.
Bonjour,
Pour ma part ce qui m’épuise c’est la négativité de certaines personnes dans ma vie (des collègues, de la famille qui va pas bien qui est toujours négative, les personnes en voitures qui sont dangereux,…). Bref un beau panel!!!
Quand je rentres chez moi, pour me rebooster, je prend un chocolat chaud accompagné de mon chien qui ai toujours près pour les câlins puis on fait une balade de 15 min qui fait du bien et je respire (respiration ventrale). Lors de mon expiration je m’imagine que toute la négativité, le stress sort.
Certains vont se dire mais quand on rentre chez soi il y a pleins de choses à faire, oui en effet c’est le cas mais cela me prend 30 min au total. J’ai appris que 30 min de ressource dans une journée m’éviter de nombreuses crises d’angoisses et me pourrissais plus mes journée.
Le matin je vais avec mon chien dans la cour 10 min (pluie ou beau temps), je fais aussi la respiration ventrale puis je m’étires et cela me dynamise pour la journée. Je me souris et me dis que je suis bien dans mon corps.
Je n’ai que 26 ans et je suie ce blog depuis 1 an. Faire des exercices chaque jour à été difficile au départ mais aujourd’hui je les ai inséré dans mon quotidien et à ma façon pour que cela devienne naturel sans contrainte.
Je tiens encore à te remercier Sébastien, tout les témoignages mon beaucoup aider et mon permis de me rassurer (je ne suis pas seule). Les exercices ont été une bouffée d’oxygène.
Bon courage à tous
bonjour sebastien tres bel article je me reconnait completement avec mes crises d angoisse et mes pensees qui m obsedentj ai hate de lire la suite amicalement
Bonjour,
Alcool, tabac, isolement, questions sans réponses sont extrêmement dévoreurs d’énergie.
Bon idée d’article, j’attends la suite avec impatience.
Merci.
Bonjour Sébastien,
Moi la dépression, je n’en sors plus, j’ai un tas de choses à faire, je fais des listes et au moment d’agir, rien plus d’envie, ne sais pas par ou commencer ni comment. Tout tourne à cent à l’heure dans ma tête et seul, c’est terrible. Plus de sommeil, un cauchemar. Merci pour ce que tu m’apportes par ton expérience, mais je crois que le bout du tunnel est encore loin.
Merci Sébastien, personnellement je me reconnais bien sûr dans un bon nombre de commentaires. Mais justement, la question « Qu’est-ce qui vide notre énergie » est déjà source d’épuisement, d’un certain point de vue.
Ce qui me démoralise complètement, c’est toujours cette image d’un énorme tas de noeuds qui m’empêche d’avancer; et pour défaire ce tas il faut s’attaquer aux petits ou moyens noeuds qui le composent. En fait, je ne sais jamais par quel bout prendre les choses. Je dirais que l’effort même m’épuise, car j’ai l’impression que c’est sans fin… sinon c’est l’idée de devoir se reconstruire entièrement parce que les événements dans l’enfance m’ont détruites ou plutôt m’ont empêchées de me construire. C’est un peu l’idée qu’il y a tout à refaire…
Quant à ce qui me recharge, je ne l’ai pas encore trouvé parce que je ne me suis pas trouvée; sinon ponctuellement les marques de reconnaissance ou l’impression que les gens sont fiers de moi, mais c’est rare (en tous cas c’est rare qu’ils me le disent). Je pense aussi que ce qui vide c’est la mauvaise image de la dépression, parce que du coup cela entraîne culpabilité, sentiment de faiblesse, honte, etc.
J’attends la seconde partie avec impatience et merci encore! et merci à tous pour vos commentaires, l’échange est enrichissant à mon sens.
Elsa
Peu de gens prennent la peine de dire du bien aux autres , alors que la critique négative en inspirent plus d’un , mais il y a une personne qui peut dire du bien de nous …c’est nous ! … Se féliciter soi-même fait beaucoup de bien !
Ce qui pompe l’nrj:
– les enfants;
– le boulot;
-le speed de la vie avec des emplois du temps hypers chargés (où on nous en demande de + en +)
-le fait de se sentir débordé.
Ce qui fait du bien:
-le calme;
-le soleil;
-les promenades dans la nature;
-le yoga;
– le sport;
-les amis;
– un w-end de temps en temps avec son chéri.
– se poser de temps en temps dans le canapé pour regarder un bon film;
-aller chez son psy.
Vous étes jeune Sébastien, j’ai 50 ans, kiné de formation, parcourant la France entière, souvent en intérim par choix, je ne travaille plus car je n’en ai plus la force, ce qui me déplaît souverainement mais je n’arrive pas à en sortir de cet état qui me mine, détruit ma véritable personnalité. J’ai trop pris sur moi durant les 25 ans de ma vie professionnelle, sans doute beaucoup appris sur la condition humaine … chaque pas est une épreuve, pourtant je ne suis pas hospitalisé, encadré par la présence de ma mère, sauf une visite mensuelle avec la psy de l’hôpital ambulatoire qui paraît n’apporter aucune solution. continuez Sébastien vos chroniques apportent un peu d’espoir.
Sébastien est toujours un excellent pédagogue. Il choisit une comparaison révélatrice, ici la voiture pour faire mieux comprendre le fonctionnement de notre corps. Personnellement, j’ai une bonne batterie, mais le réservoir est petit, et se vide plutôt vite de l’essence qu’il contient. Depuis donc 1978, je lis, réfléchis et expérimente les questions diététiques. Actuellement, je m’inspire d’un livre que j’ai acheté sur les antioxydants. Je peux affirmer que si je n’avais pas changé de nourriture, je serais dans un état de délabrement pitoyable ou bien mort. Le petit déjeuner d’autrefois ( pain blanc beurré avec café chocolaté ) était néfaste pour moi et le serait encore. Aujourd’hui, je prends le matin des dattes, des flocons d’avoine auquel j’ajoute une cuillerée de cacao en poudre non sucré( type Van Houten). Ce petit déjeuner est nettement supérieur au déjeuner français classique. Une nourriture la moins transformée possible a non seulement des effets physiques remarquables, mais aussi des effets psychiques indéniables. A essayer avec bien sûr la méditation de pleine conscience, le yoga, et toutes les mille et une méthodes que le développement personnel propose. Hélas, une bonne partie des médias et des médecins officiels méprisent ces tentatives et les considèrent comme du charlatanisme, du sectarisme ou des recettes de mémés gâteuses. A expérimenter !
Bonjour Sébastien,
Ce qui me vide ce sont les pensées négatives et les angoisses qui me tiraillent de l’intérieur,peur de l’autre car trop fragile et vulnérable ,et en meme temps je me met en danger, peur de souffrir mais peur peut etre aussi du bonheur car peur de la chute et tous les blocages que j’ai .
Merci pour vos conseils
Bonjour Sébastien,
Tout d’abord merci beaucoup pour tout ce partage et plein de courage à toi et à toutes les personnes qui souffrent de ces maux invisibles.
Je me reconnais dans beaucoup de commentaires et j’ai aussi la fâcheuse tendance à relâcher mes efforts quand je vais mieux (j’ai fait une grosse dépression à l’âge de 20 ans et je souffre de trouble anxieux/trouble panique depuis des années).
Ce qui vide mon énergie:
– venant de moi: avoir peur constamment (de mes symptômes en particulier ou de faire encore une xième crise de panique), l’isolement, le sentiment de solitude intérieure, le manque de confiance en moi, la peur des autres et du jugement, la recherche de la perfection dans ce que j’essaie de faire, les pensées négatives et la rumination…
En gros, je pense que nous oublions trop souvent que nous devons être l’être le plus important pour nous-mêmes et prendre soin de nous.
Mais il y a également pour ma part, tout un tas d’éléments extérieurs que je ne peux pas toujours changer et qui absorbe mon énergie:
– la pollution sonore (et la pollution tout court, mais le bruit m’est parfois insupportable sur longue durée: klaxon, sirène, marteaux piqueurs, chiens qui aboient sans cesse…)
– l’actu, continuellement négative (je ne regarde plus le JT depuis longtemps, je me contente de lire les gros titres pour savoir dans quel monde je vis, et parfois c’est encore de trop)
– le train de vie actuel: les incivilités de toutes parts et l’insécurité ambiante
– les changements brusques de température (et le paysage qui va avec)
Ce qui m’apporte de l’énergie:
– l’affection que je peux porter à un être et celle que je reçois en retour (je ne pense pas qu’aux êtres humains que j’affectionne, mais également aux animaux qui m’ont d’ailleurs beaucoup aidée)
– le sentiment d’être utile (à la société ou à un être en particulier)
– me sentir entendue
– une activité physique (la marche)
– une activité artistique (les miniatures).
– googler « angoisse » et trouver un blog comme celui-ci :)
Bonjour
ravi de découvrir ton blog par le carnaval. Cette notion d’énergie est primordiale pour moi. La vie que nous menons, la course perpétuelle au travail , à la maison, etc… est tellement en discordance avec ce que nous sommes vraiment. Cela produit comme un court-circuit, ou une mise à la masse de notre « batterie » interne qui la vide complétement et en permanence.
Résultat, nous sommes incapables de la recharger tant que nous n’avons pas identifié la source de ces dysfonctionnements .
Pour moi, les fusibles corporels ont sauté il y a quelques années et m’ont permis de rebondir vers un nouveau chemin , plus en harmonie avec ce que je suis.
Amicalement
Phil
Bonjour à tous,
Tout d’abord encore un grand merci Sébastien pour ton aide si précieuse et à vous tous qui apporter des témoignages dans lesquels je me reconnais complètement.
Mes batteries ? En ce moment, bien que fatiguée physiquement à cause je pense de l’antidépresseur, elles sont bien rechargées. Ce qui me les a mises à plat : l’annonce d’un cancer il y a 8 ans et sans doute aussi l’accumulation d’une trop forte dépense d’énergie.
A force d’appliquer tout ce que Sébastien nous communique, je pense positif, je profite du moment présent, je savoure le plus petit bonheur (la clé dans la serrure quand mon amoureux rentre le soir à la maison), je ne juge pas, je ne focalise plus sur le passé qui est de l’histoire et l’avenir qui est un mystère (citation de Sébastien). J’ai eu très récemment dans la même journée, l’annonce du décès d’un jeune ami très proche et l’annonce de la naissance d’un petit enfant pour ma fille. Et bien malgré la tristesse, c’est la joie qui l’a emportée grâce à la force de mes pensées positives ! Et puis, je respire, je respire ! La respiration abdominale est un excellent moyen de combattre la montée des angoisses. Un jour, un magnétiseur (et oui quand on va mal, on essaie tout !) m’a dit : arrêtez donc toutes vos cochonneries de médicaments et respirer : gonfler votre abdomen, bloquez quelques secondes et expirer très lentement. A l’époque, je me suis dit : « mais que dit-il ? ». Je n’ai donc pas appliqué ses conseils, n’y croyant pas le moins du monde. Que de temps de perdu à ne pas vouloir le croire ! Bien sûr tout ce travail sur moi ne s’est pas fait en un jour mais à force de persévérance et l’aide de Sébastien, on y arrive. Bien sûr, parfois j’ai peur de replonger ; mais cela s’est demain et demain n’est-il pas un mystère auquel y penser ne changera rien, alors pensons présent, là et maintenant.
Très belle journée à tous,
Mary
génial ton article,vivement la suite ;)
Voici la liste qui donne de l’énergie:
– la respiration
– les massages ( dont la réflexologie)
– le travail sur les chakras
– le sport
– les baies de gojis
et ceux qui vide les batteries:
– Le sexe
– Se réveiller en plein cycle de sommeil
– la marche intensive
– le travail intensive
– les émotions perturbatrices ( colère, stress…)
– les personnes qui n’ont pas d’énergie ( je sais pas pourquoi mais après quelque minutes avec eux je me sens vidé d’énergie).
Et voila ma liste.
Cordialement
Bonjour Sébastien,
Tous mes encouragements pour ton blog car à chaque fois tu retranscrits parfaitement tout ses états difficiles, l’anxiété, l’angoisse, la dépression et tout ce qui tourne autour de ça !
Comme beaucoup le disent, cela réconforte beaucoup et aide « temporairement » à surmonter des situations difficiles, car la plupart du temps nous avons toujours l’impression que les autres sont heureux et que nous sommes les seuls à souffrir !! Or la réalité est tout autre mais il y en a qui savent mieux porter le masque tout simplement !
Dans cette société ou nous devons être parfait, ou nous n’avons plus le droit d’être fatigué, stressé, d’avoir des moments difficiles, il est encore plus difficile d’assumer ces moments de moins bien …
Pourtant nous sommes des êtres humains avec le lot d’imperfection qui nous détermine.
Le plus difficile est de changer les habitudes, surtout les mauvaises, mais faut il encore s’en rendre compte ?!?
Et puis comme il est précisé une fois que tout va mieux, on repart comme en 40 !! Et nous renouvelons les mêmes erreurs !
Changer, ce n’est pas facile ! Mais ça en vaut certainement la peine !! De se battre tous les jours, c’est fatigant aussi mais pour remplacer les mauvaises habitudes pour arriver à être plus positif avec une meilleur hygiène de vie, le jeu en vaut surement la chandelle, mais comme pour beaucoup, la motivation tombe vite dans les chaussettes, c’est comme pour le sport ou tout un tas de bonnes résolutions ;)
En espérant qu’un jour chacun trouve la paix intérieur !! :D
Bonjour sa fait du bien de s avoir con et pas seul face a ce probleme pour ma part c est arriver par des bouffer de chaleur,palpitation pui je tombe dans les pomme et je me vide des que je sort ou fait quelque chose avec des amis du coup je ne sort plus
Bonjour Sébastien
c’est génial ce que tu as fait se blog car je suis en dépression et c’est dur de se relevé surtout quand on est seul et en lisant tes articles je trouve des methodes intéressante pour me remettre sur pieds merci
Celine
Je suis d’accord avec kloé. Moi ce qui me vide mon énergie c’est très clairement le boulot. Je suis stressé par celui-ci, voir même angoissé, peur de mal faire, pression des délais, la pression que je me met moi-même… les clients mécontents, pressés… bosser sur des sujets que je ne maîtrise pas. J’ai des maux de têtes pendant la semaine, qui disparaissent pendant le week-end et les vacances.
J’ai 30 ans et l’impression d’être sans repères. A cet âge la la plupart des gens sont en couple et commencent à avoir des enfants, une maison, ect…
Moi je suis paumé. Je suis célibataire, une vie sociale pas très remplie, un boulot qui me stress, me génère des maux de tête.
J’ai envie de changer de région (et je vais le faire), envie de changer de boulot (magré que dans mon secteur je peux facilement en trouver), de faire complètement autre chose (oui mais quoi ?)…
Et quand je pense à tout ça, ça me fait flipper et me fatigue.
Ce qui me fait du bien :
– Les vacances
– Le soleil
– Amis / famille
Je fait de ma méditation à raison de 20min par jour, ça me fait du bien sur le moment mais j’ai énormément de pensées !
J’essaye également de pratiqué le lâcher prise depuis peu, avec la méthode SEDONA.
En fait je pense que ce qui vide notre énergie d’une manière général, c’est de ne pas être dans le moment présent, de penser à la situation d’après, de ruminer… de façon consciente ou inconsciente.
Bonjour
Pour ma pars ce qui a génère beaucoup d angoisse est de focaliser sur certaines pensées
Ça qui p a réellement aidé est une thérapie une alimentation saine des exercices respiratoire et le sport le sport le sport
Ma thérapeute m a a plusieurs reprise assurée que le sport était le meilleur et le plus puissant anxiolytique !!!!
Le blog vers une vie sereine m est également d une aide très précieuse ! Car la mise en place et l application de ce que l on y trouve aide vraiment a aller vers …. Une vie sereine !
bonjour;
En ce moment je dirais exactement ceci: « je suis fatiguée d’être fatiguée »,
ce qui me vide je suppose mes angoisses
ce qui me redonne de l’energie (mais dure pas longtemps, j’ai un etat en « dent de scie ») : dormir
merci pour cet article; et je me reconnais dans certains de vos commentaires, certains sont très bien écrit! j’admire!
Salut
J’ai vécu un burn out également et ton explication est très proche de la réalité (je raconte cet épisode de ma vie dans mon blog)
Bravo encore pour ton site.
Ouh! Tous ces commentaires me donnent le tournis!
Ce qui vous manque à tous ce sont quelques huiles essentielles à respirer au bon moment! Ça sauve la vie!
Ne restez pas comme ça, utilisez une chimie qui fait du bien : je vous dis tout ici
http://www.clubequilibrenaturel.com/burn-out/
http://www.clubequilibrenaturel.com/deprime-saisonniere-aromatherapie/
Et rappelez vous que rien n’est permanent…
bon courage à tous,
Bien amicalement,
Cécile
bonjour Sébastien,
Enfin une croisée des blogs pour toi spécialement!
D’après mes expériences, les causes de la dépression
sont aussi émotionnelles. For heureusement, on ne
déclare pas une dépression par hasard.
En remontant à quelques mois avant les premiers symptômes,
on s’aperçoit qu’il y a souvent eu un choc dans la vie de la
personne qui les déclare.
La situation déclenchante touche un conflit qui parfois entre
en corrélation avec d’autres évènements du même type et qui
datent de bien plus longtemps. C’est la raison pour laquelle
il n’est pas rare de récidiver. le problème est résolu au présent
mais les causes profondes sont encore actives.
Selon Tipi, on peut même remonter à la vie intra-utérine , lieu
où des petites morts (liées à la rupture d’oxygène du cordon)
créent un conflit cellulaire qui cherche à trouver une résolution
des années plus tard, d’où la dépression.
Tu parles très justement des glandes surrénales qui sont , en
décodage biologique, le siège de la peur.
On pourrait croire que ce sont les situations de notre vie d’adulte
qui les activent et donc qui génèrent de l’adrénaline dans le corps.
Il n’en est rien: ce sont beaucoup plus souvent les peurs de l’enfant
ou du foetus qui se réveillent chaque fois qu’une situation symboliquement
similaire se présente dans notre vie d’adulte.
Tout ce qui touche à la mort la peur de mourir, la peur que quelqu’un meurt, la séparation sont les sujets privilégiés qui déclenchent les états dépressifs.
Comme c’est un sujet que tu maîtrises bien, j’attends l parution de ta
deuxième partie ;-)
J’attends de lire ta deuxième partie
Bonjour à tous,
Je partage toutes vos remarques et vous fais part moi aussi de mon témoignage.
J’ai vécu des épisodes dépressifs, on va dire 4 dont 2 majeurs (le dernier m’a valu un arrêt de travail d’un mois) ces 6 dernières années, tjrs en lien avec le travail, je suis consultant en ssii.
Je traverse actuellement une nouvelle zone de turbulence mais ici ce n’est plus l’abattement que je vis mais la colère.
Cette colère je ne la dirige plus vers moi mais vers un système professionnel absurde que je subis, mais que je ne veux plus subir désormais ;)
Je pense également que l’arrivée de mon deuxième enfant y est pour beaucoup.
Je suis aujourd’hui bien décidé à faire changer les choses (pour la première fois en 12 ans de loyaux services, j’envisage une démission).
J’essaie tout de même de garder mon calme, les temps sont durs, il ne faudrait pas faire bêtement une faute pro et aussi, garder une sérénité pour passer des entretiens ;).
Je rejoins le témoignage de Kloé, je compose de la musique et en effet, la création nous emmène dans des sphères où la seule exigence est le lâcher prise !
Ceci fait parti de mon équilibre, et j’aimerais aller le plus loin possible dans cette voie, aujourd’hui j’aimerais passer plus de temps pour composer.
Simplement, pour vous dire qu’un jour, on se rend compte qu’on a plus les capacités, les moyens l’envie et que ce n’est pas de notre faute.
C’est juste que en effet, la batterie est à plat et que l’on est plus prêt à faire certains sacrifices sur notre équilibre perso, familial.
Voilà, je vous souhaite d’avoir le courage de mener cette réflexion et d’affronter les regards et réactions de personnes qui n’ont pas les mêmes intérêts que vous.
Prenez soin de vous ;) !
Emmanuelle
Bonjour Sébastien,
Je découvre ton blog par l’intermédiaire de « Blogs coup de cœur ».
Belle expérience de vie que tu mets à notre service.
L’image de la batterie et de l’énergie me parle beaucoup.
J’ai connu la dépression il y 25 ans suite à une accumulation de situations difficiles à gérer. Ayant tellement puisé dans mon énergie sans avoir les moyens de refaire le plein, plouf le corps à parlé m’obligeant à me poser.
J’ai appris à prendre la vie avec philosophie, si une situation ne vous tue pas, elle vous grandie. Chacun est un puits dans fond de trésor pour appréhender tous e qui se trouve sur notre chemin.
Merci Sébastien,
Bonjour Sébastien,
C’est un domaine bien mystérieux que celui de la dépression. Enfin, je le pensais tel. Après avoir lu ton article, on voit plus clair, un peu comme si les mots que tu mets sur la maladie la rendaient moins obscure. Pas moins douloureuse pour autant.
A bientôt !
Bonsoir,
Article très intéressant et tellement vrai !
Je l’ai compris récemment après avoir vécu mon premier burn out il y a quelques mois.
Trop fatiguée, donc énervée, donc impossible de trouver le sommeil et c’est un cercle sans fin. On connait les insomnies et les idées noires.
Bref, depuis j’ai enfin compris que je tirais sans cesse sur la corde, que j’en faisais trop tout le temps au dépend de ma santé physique, que je ne prenais jamais le temps de me poser, de me reposer, de m’écouter.
Pour répondre à ta question :
– ce qui me vide mon énergie : le stress du travail, la quête de la perfection, etc.
– ce qui m’en apporte : mes séances de yoga hebdomadaires, me confier à quelqu’un de proche, une journée ensoleillée, …
Merci !
Bonjour,
Je conseille pour remonter la pente les fleurs de Bach et l’homéopathie qui fonctionnent très bien sans effets indésirables (et oui c’est quand même Dieu qui a mis toutes ces plantes à notre disposition). Les sels de Schuessler aussi.
Un deuxième outil et non des moindres est l’EFT (Emotional Freedom Techniques) qui consiste à tapoter différents méridiens du corps en disant l’émotion ou le souvenir douloureux, et qui produit de très bons résultats (le souvenir reste mais sans l’émotion attachée, culpabilité, colère, peur…). Vous pouvez le faire vous-même et c’est gratuit.
De manière générale, je pense que la vie nous secoue parfois comme un prunier pour nettoyer toutes ces émotions et souvenirs négatifs cristallisés dans le corps, l’angoisse en est un symptôme. Merci du cadeau, une occasion de se purifier le corps et l’esprit.
Merci pour ton blog.
Bonjour, ,merci pour cette article pour part je me sens vider après une crise d angoisse ou de panique :x
Coucou Sébastien,
C’est l’article de Sylviane qui m’a permis de découvrir ton excellent blog.
Dans cet article, tu confirmes ce que j’ai toujours dit à mes médecins :
C’est la fatigue (ou l’épuisement) qui provoque mes dépressions et non pas l’inverse ! Et je pense que c’est le cas de la très grande majorité des dépressions.
Rien ne sert de combattre la dépression avec des antidépresseurs surtout si l’on ne cherche pas à lutter contre la fatigue qui est la cause de la maladie et non pas la conséquence selon moi.
Même si ce genre de fatigue est liée à une anxiété importante et qu’une psychothérapie peut être une excellente solution (parfois indispensable), elle doit forcément être associée à une bonne hygiène de vie et surtout à une excellente hygiène du sommeil !
La qualité du sommeil et la compréhension des mécanismes de ce dernier est selon moi l’une des clés les plus importantes pour vaincre la fatigue et donc aussi la dépression.
Car comme tu le soulignes par exemple : moins de mélatonine (donc mauvaise exposition à la lumière en journée) = on dort moins bien = on est fatigué = batterie faible = on n’a plus de ressource pour prendre les choses en main la journée et là on entre dans le cercle vicieux qui finit forcément par provoquer tôt ou tard la dépression.
Je connais moins bien l’ocytocine ! Je me renseignerai sur cette hormone !
À bientôt !
Merci Romain pour ton commentaire, et je suis d’accord avec toi : le sommeil est un aspect très important.
Et en effet je te recommande de t’intéresser à l’ocytocine car, comme la mélatonine, c’est une hormone vraiment essentielle : certains l’appellent même l’hormone du bonheur !
Au plaisir !
Bonjour Sébastien,
Et merci pour ton blog, je suis nouvelle, ici avec vous tous et ravie de l’être.
Ton blog est d’une simplicité dans lumière que peut de personne peuvent se le permettre. Je me fais un plaisir de te lire et de vous lire. MERCI
A tres bientôt.
Bonjour Sébastien,
A nouveau, merci pour tes articles et pour tes expériences.
Partager est pour moi une excellente solution contre la déprime. Cela permet de renouer à la communauté, au groupe. Malgré l’envie que nous avons d’être individuel (et nous le sommes), nous devons pas oublier que nous sommes des êtres sociaux et vivons en groupe (ce que notre société à tendance à oublier).
Contre le burn-out ou la dépression (et les autres D. ;) ) adoptez la même attitude : acceptez la situation et placez vous en observateur (le non-jugement face à soi et les autres est pour moi une notion fondamentale empruntée de certaines cultures).
Cette attitude de lâcher prise n’est pas évidente, j’en suis conscient! En tant qu’artiste, je peins régulièrement. J’ai aussi la chance d’avoir acquis beaucoup d’expérience à travers mes voyages « sac à dos » et grâce aux rencontres faites sur place.
J’ai fait l’étrange expérience de la marche. Il y a quelques années, j’étais au plus bas de mon énergie. J’ai perdu l’esprit et me suis mis à marcher. Inconsciemment, je me suis mis à marcher jusqu’à une forêt…à 4h de marche de chez moi. Faites cette expérience, au début ce sera le chaos entre vos émotions, vos idées, etc qui referont surface…ensuite, elles se calmeront d’elles-mêmes.
Je fais actuellement la même expérience durant mes séances de peintures ( mes techniques sont issues du lâcher prise : art brut et intime). Voilà un autre secret facile à mettre en oeuvre pour être serein!
Souvent un accompagnement est nécessaire (vous, vos proches, un spécialiste, etc.) N’hésitez surtout pas à multiplier les avis…et à choisir celui qui VOUS convient. Si nous faisons partie d’un groupe, nous sommes avant tout des êtres individualisés :)
Après l’agréable expérience d’échange de l’événement inter-blogueurs, je serais ravi de réécrire un texte partenaire sur un sujet de ton choix…tu es aussi le bienvenu sur mon site Sébastien.
A bientôt
Frédéric
Tout à fait d’accord avec cet article, je suis arrivée à faire une dépression suite à un enchaînement d’évènements épuisants et de moments très difficiles sans moments de repos. Et quand j’explique à des amis comment j’en suis arrivée là, ils sont vraiment très impressionnés par la concentration de choses que j’ai pu vivre à cette époque…. Coïncidence amusante moi aussi j’ai travaillé dans la grande distribution très peu de temps après ma dépression peut-être pas encore tout à fait finie mais on a tellement envie de dire que c’est fini pour retrouver une vie normale…quand j’ai senti l’épuisement revenir, j’ai préféré arrêter plutôt que de resombrer une deuxième fois. Aujourd’hui ça va mieux mais je me sais fragile… donc j’ai encore besoin de travailler sur moi-même. En tout cas merci pour ce blog très clair et ces conseils que je trouve plus pertinents que ce que j’ai pu trouver ailleurs. Personnellement, avant je me suis intéressée à la méthode Coué et à la bibliothérapie…..mais j’ai envie aussi de tester l’ancrage dans le présent car si au niveau de la dépression il y a une nette amélioration, les angoisses elles sont encore très présentes notamment en raison de ma situation précaire.
Merci Céline pour votre commentaire et le partage de votre expérience.
Je vous souhaite de bonnes découvertes alors, et une bonne pratique de l’ancrage ;)
Vous allez adorer !
Bonjour,
Pour ma part, je n’arrive pas comprendre ce qu’il s’est passé pour que j’en arrive là mais je suis au bout du rouleau. Votre site me fait beaucoup de bien et m’apaise. Ce qui me permet d’éviter (je dis bien éviter car je n’arrive pas encore à calmer une crise d’angoisse) les crises, c’est faire le ménage chez moi ou encore, écrire, faire des recherches… Tant que mon esprit est occupé, ca va sinon c’est la porte ouverte à tout.
Je voulais vous remercier car grâce à votre site je commence à réaliser que je peux m’en sortir.
Bonjour Sébastien, et merci encore pour ton blog.
Je viens d’éliminer de ma vie une sacrée source d’épuisement, et j’ai mis plusieurs années à la considérer comme telle alors si mon témoignages peut en aider certains… ou certaines devrais-je dire car il s’agit de la pilule ! Eh oui, pendant plusieurs années, gynéco, psy, médecin m’ont dit « nan nan pas de risque » sauf que voilà, j’ai arrêté il y a un mois et demi, et … je revis. Je dors, et mon moral est au top. Evidemment, il n’y a pas de miracle, c’est une cerise sur un gâteau de travail précédent, mais n’empêche… A bon entendeuse ;)
bonjour sébastien, un grand merci pour ce blog. je souffre d’uticaire chronique ( intolérance à l’histamine) et aussi d’allergie à l’Aspirine et huiles essentielles . celA fait bientot 1 an et demi que je traine cela.;; ces grosses valises… je dois faire attention à tout, c’est fatigant, cela me mets en stress permanent. j’ai eu très peur qd c’est arrivé., j’étais seule, crise de panique, anxiété sur qques mois., la solituden l’incompréhension des proches. bref depuis cela va un peu mieux avec des hauts et des bas.
le coté positif de cette maladie finalemet c’est que cela m’ a ouvert les yeux !! je commence à comprendre le lien entre le corps et le mental. le yoga m’ y aider aussi et me donne beaucoup d’energie, meme si j’avais l’impression au départ que cela ne ferait pas grand chose!!cela m’a aider à me concentrer à mieux respirer et à baisser d’un cran le niveau de stress. . la prof nous accepte tous comme on est, enfin, ca fait du bien de ne pas se sentir jugé!!
bref ce corps m’envoie un signal, maintenant le plus dur va etre de trouver le décodeur et ce qu’il signifie:) …..peut être ausii que j’ai peur de le trouver et d’affronter certaines choses?
ce qui donne de l’energie je dirais tout simplement un repas équilibré, bien dormir, se faire des papouilles , des massages (aux amis, aux collèges, à notre chéri(e), ca rebooste et on se fait mutuellement du bien)., avoir chaud, aérer la pièce, respirer se parler, danser au bal folk, une bonne douche relax.. des choses très simples finalement .
merci pour ce blog très intéressant
ce qui nous bouffe : le boulot, la compétition , la solitude, la tv (qui nous immobilise)
merci encore pour tout ces conseils
bonjour Sébastien,
et MERCI pour ce blog,que j’essaye de suivre car c’est tres intéréssant j’ai 64 ans je souffre de depression depuis une bonne quinzaine d’années…suite a de nombreux problémes et chocs de la vie !!!! je suis suivie par un spy depuis mais je m’enfonce de plus en plus ,surtout depuis un an ,on m’a enlevé la thyroide …c’est une sacrée Maladie a be pas prendre a la légére….
moi ce qui m’épuise vraiment surtout nerveusement, c’est ma difficulté à lâcher prise, à décompresser, vraiment épuisant
Très bonne article. J’y ai appris beaucoup de chose. Je ne pensais pas que l’épuisement pouvait causer tout ces maux. Mais quand on y pense ça a du sens. Il est donc important de « recharger » ses batteries. On peut faire du sport et peut-être faire attention à ce qu’on mange, j’ai entendu dire que cela pouvait avoir un impact non négligeable sur notre moral et sur notre forme !
Bonjour,
Dans le cadre de mon mémoire portant sur la conduite du changement et l’épuisement professionnel, je réalise une enquête afin de recueillir votre témoignage sur la manière dont vous avez vécu le changement au sein de votre entreprise.
A noter que ce questionnaire est anonyme et que votre témoignage est important. J’aimerais montrer que l’épuisement professionnel est quelque chose qu’il faut prendre au sérieux et que c’est du rôle de la direction des ressources humaines et du supérieur hiérarchique de faire attention à la santé mental et physique de ses salariés. J’aimerais montrer grâce à ce questionnaire l’importance du phénomène d’épuisement professionnel mais aussi montrer que le facteur humain dans une conduite du changement est pour la plupart du temps négligé dans sa totalité.
LIEN :
https://docs.google.com/forms/d/1m_jg4sDKlVYNzcvFwiQIAMHA6vd7HyQv_g0FaSxVY0c/viewform
Je vous remercie d’avance d’avoir accepté et consacré quelques minutes pour répondre à cette étude de la manière la plus sincère possible. Je me tiens à votre entière disposition, pour toute information supplémentaire.
Un article très intéressant qui me rappelle le livre « Imparfait, libres et heureux » de Christophe André où l’auteur parle justement de l’estime de soi comme d’un tableau de bord de la voiture. Donc cela rejoins un peu votre article… Dans le bon sens!
Tout se dérègle et comme on ne change pas les voyants d’avertissement qui nous signalent que les choses vont mal on ne voit plus rien et impossible d’avancer…
Pour répondre aux deux questions: la créativité me permet de me ressourcer et de laisser mon cerveau « courir » dans un sens en somme!
Paradoxalement quand je suis très fatiguée mentalement et que je visionne les produits finis (peintures, musiques) des autres sans avoir crée moi-même, je ressens un genre de vide: c’est comme si je tentais de me mettre à la place de leur créateurs sans y parvenir et cela me bouffe mon énergie! Je désintègre sans m’en rendre compte, à défaut de construire.
Comme si j’allais mettre le nez dans la voiture des autres sans réparer la mienne! Et au final c’est assez épuisant. Voilà. Merci pour cet article en tout cas, je vais probablement jeter un oeil aux prochains prochainement. :)
Je suis désespérée, vous lire et essayer de vous comprendre me demande une énergie monumentale
Bonsoir Cathy,
J’ai essayé d’écrire pour que ce soit le plus clair possible, mais je comprends que même ainsi ça puisse demander beaucoup d’énergie..
Dans ce cas allez-y doucement, petit bout par petit bout. Faîtes ce que vous pouvez avec l’énergie que vous avez, et essayez de vous ressourcer par tous les moyens.
Faîtes des petits pas ;)
Sébastien
Bonjour,
votre article est vraiment très intéressant. Ca m’éclaire bcp sur mon épuisement actuel physique et moral.
Mais j’aimerais bcp lire le second article qui est la suite de celui ci pour savoir comment recharger « ma batterie ».
Est-il déjà rédigé? Si oui, je voudrais bien le lien de la page! :)
Mci d’avance.
la suite ici ;)
Bonjour Sébastien,
Elle est où la deuxième partie de ton article.
Dans l’attente de te lire,
Julie
ici ;)
A noter que ce questionnaire est anonyme et que votre témoignage est important. J’aimerais montrer que l’épuisement professionnel est quelque chose qu’il faut prendre au sérieux et que c’est du rôle de la direction des ressources humaines et du supérieur hiérarchique de faire attention à la santé mental et physique de ses salariés.
Bonjour Sébastien, avez vous déjà était confronter a une déréalisation dépersonnalisation ? Suite a un gros coup de stress qui a durer assez longtemps je me suis réveiller dans cete état est c’est très effrayant j’ai peur de rester comme ça toute ma vie, c’est vraiment comme si je flottait que jetait endormis tout la journée et que je voyais flou.. bonne journée a vous !
Bonjour Lea, oui j’ai en effet déjà connu ces sensations. Ce qui m’a le plus aidé, ça a été de pratiquer régulièrement la technique de l’ancrage.
C’est très efficace !
Bonsoir, cet article est vraiment super et je me hâte de lire la suite… Lorsque l’on est englouti dans nos angoisses on a cette impression que l’on ne va pas en sortir et pire et même pire que cela va nous tuer. Pour ma part j’ai tout le temps soif, cette sensation de respiration lourde difficile ainsi que des vertiges et votre blog m’aide beaucoup. J.ai peur et je m’invente un tas de maladies alors que j’ai déjà realisé divers examens….Chapeau pour ce grand travail et l’aide et l’espoir que tu apportes à chacun!
J’adore! Enfin quelqu’un qui explique bien la situation! Où est la suite de l’article? J’attends la suite.
Mais il faudrait juste corriger quelque chose, les glandes surrénales se situent non pas dessous les reins, mais bien sur les reins, d’où le nom « sur-rénales ».
Merci
Bonjour Samantha,
Oui en effet j’ai du faire une petite faute d’écriture, les glandes sont bien au dessus des reins ;-)
Pour la suite de l’article elle est accessible ici : http://guerir-l-angoisse-et-la-depression.fr/depression-crise-angoisse-burn-out-une-solution-lenergie/
bonjour sebastien , j’arrive pas a comprendre se qui m’arrive je suis agee de 24ans est sa fait 5 ans maintenant que je suis dans une souffrance terrible.
j’ai vecue une enfance plutot difficile est un jour j’ai decider de tout quitter ma famille mon travail je voulas m’eloigner de toute cette souffrance est je suis partie tres loin de chez moi chez des amis en esperant pouvoir me consacrer a moi sauf que 3 jours apres mon arriver j’ai une crise d’angoisse de l’autre monde j’ai crue mourire rellement ,
la peur de ma vie ! une fois arriver a l hopital on ma dit c est rien c est de la spasmophilie sauf que pour moi c etait tout autre chose j’etais sur d’avoir quelque chose de grave . j’ai donc decider de rentrer chez moi est la mon etat c ‘est degrader ,le soir impossible de m endormir sur que j allais faire un avc ou une crise cardiaque
sa a durer 8 mois ,puis c est passer pendant quelque mois est un jour j’ai vue une emission a la tele ou les gens disait que quelques semaines avant de mourire qu’il l’ avais ressentie est la j’ai eu une tres grosse angoisse j’etais sur que j ‘allais mourire que c ‘etait que question de semaine je vivait avec cette trouille H24 j’en étais sur ,puis un jour ma soeur me parle d ‘un ami devenue skizophreine est cette maladie a fais son chemin dans ma tete j ‘ai commencer a chercher sur internet est je me suis trouvais beaucoup de symptomes surtout dans la skyzophrenie pseudo nevrose est la j’ai vraiment fini par tomber tres tres bas ,je n ‘aurais jamais imaginer qu’on puisse souffrire autant avant cette peur la j’avais peur de mourir est maintenant que j’avais la peur de la skyzophrenie ,je finissait pas penser a la mort meme a la desirer ,a la souhaiter tellement la souffrance etait grande je suis tomber bien evidement dans une grosse depression avec envie suicidaire j’avais pas reellement envie de mourire ,je voulais juste arreter se cauchemard sans fin j’ai enfin decider au bout de 4 ans d’aller voir un psychatre est il ma diagnostiquer tous sauf skyzophreine mais une grosse depression ,je lui est expliquer que je voulais pas que des medicaments me gere que toute ma vie j’avais etait le pilier de ma famille est que je voulais pas etre resumer a sa est il a tout simplement repondue mademoiselle vous etes malade ,je lui est demander si un jour je pouvais m’en sortir sans medication il ma dit je c ‘est pas peut etre une jour mais que c etait une maladie liee au cerveaux comme des gens sont diabetique. arreter de vous poser ses question inutile prenais c ‘est medicament est quand vous irez mieux ,vous y penserait plus ,a se moment la je me dit saye c est fini pour moi je serai malade psychiquement toute ma vie ,non c ‘est pas possble je prefere mourir ,que accepter sa! j’ai fini pas prendre son traitement qui ma encore plus detruie ,j’ai commencer a ma scarifier ,j’ai fini par arreter se traitement est j’ai consulter un psy qui ma servit strictement a rien a part de ma dire d’insulter mes angoisses , je lui est dit vous me demander de m’insulter a moi meme en gros. bref puis du jour au lendemain plus d ’emotions ,ni sensation,plus gout a rien ,l ‘impression d etre comme dans un coton ,comme si j’etais morte de l’interieure sa fais 1 ans que j’ai cette sensation ,sa sera quoi la prochaine. comment peut on passer d ‘un extreme a l ‘autre ? je suis dsl pour se long message remplie de faute mais j ‘avais vraiment besoin d’en parler a quelqu’un qu’est suceptible de me comprendre .je c ‘est pas si toi tu est tomber aussi bas pendant ta depression ?
j’aurais une derniere question est ce que tu pense que malgres tout j’ai encore une chance de m’en sortir ?
bravo pour ton beau parcours! c’est super se que tu fais ,dans tes annee de souffrance tu a trouver ta vocation !
Oui et oui, c’est tout ce que je peux te répondre maintenant avec l’énergie que j’ai.
Courage
En effet, il est très compliqué pour une personne déprimée de se rendre compte de son état de fatigue avancé. Les jours se répétant et la situation n’évoluant pas, la fatigue s’accumule et le risque d’atteindre le « point de rupture » arrive.
Merci pour cet article parfaitement clair et très bien décrit.
Magnifique article!
Je rajouterais que le métier peut jouer (a mon avis un rôle)
J’ai travaillé des années dans le graphisme avec succès et j’en ai aujourd’hui une overdose… (frustrations, ne pas dire stop, accepter toujours +) un énorme ras-le-bol
et un épuisement… aujourd’hui, je pense ce sentir utile dans un métier et appliquer les données plus hautes sont absolument nécessaires!
Moi, j’ai oublié que la vie n’était pas du lundi au vendredi et courir courir courir de succès en succès ou dépatouilller les amis / clients ou autre… (ce qui était parfois gratifiant) m’a fait m’oublier! (je sais même pas, si ce n’est pas depuis toujours)
Je regarde le passé en me souciant du futur… (avoir toujours des plan B)… et finalement tu vis dans l’angoisse…
Mais que la vie est à côté (peut-être dans de petites choses)
Bonjour,
Au fil de mes recherches, je viens de découvrir votre blog. Je vous lis avec beaucoup d’intérêt. Les thèmes qui sont abordés m’aide beaucoup à apprendre sur mon état mental et sur certaines maladies auxquels je fais face dont la depression. Aussi, j’aimerais vous faire partager mes lectures d’ouvrages qui traitent des sujets que vous avez l’habitudes d’aborder. Je viens de terminer la lecture de : » Vaincre la dépression » de Myreille Bédard ( aux éditions Médiapaul ). Déjà, ce livre est un incontournable. Je le recommande à tout ceux et celles qui veulent avoir des outils pour éviter de plonger dans la spirale de cette maladie mentale que l’auteur qualifie de » cancer de l’âme ».
Bonjour,
Je travaille actuellement pour la nouvelle émission présentée par Frédéric Lopez « Mille et une vies » qui sera diffusée sur France 2 à la rentrée.
Dans ce cadre nous préparons une émission sur le burn-out, avec différents intervenants, sous forme de discussion menée par Frédéric Lopez.
Je suis à la recherche de personnes qui seraient prêts à venir raconter leur histoire.
Bien cordialement,
Lina
Rédaction Mille et une vies
01.53.84.29.91
Lahlou.lina@reservoir-prod.fr
Je pense que les conditions du métier que l’on exerce peuvent devenir un réelle facteur d’un burn out, une personne proche de moi était investit dans son travail depuis 20 ans , tous ce passé a merveille , mais une jeune nouvellement employé est devenu son responsable et à commencer à vouloir lui apprendre son métier alors qu’elle n’avais aucune expérience, la personne à reçu de très mauvais rapport alors qu’elle en avait toujours eu des très positifs.
La personne a ensuite était dégouté dans un premier temps de son administration et de son métier, a quoi bon ce donner dans son métier si c’est pour être critiqué par une jeune nouvelle sur le terrain.
Viens ensuite la peur d’aller au travail , et le burn out qui suit…
Salut à Sébastien et à tous les blogueurs.Voilà depuis deux mois je vis un peu l’enfer avec des crises d’angoisse à répétition. Je suis allé voir un psy qui m’a refilé des benzodiazépines et je ne pense pas que c’est la bonne solution au contraire…ça me donne des maux de tête et accouphènes .Je me soucie un peu du futur et j’espère trouver rapidement des réponses à ce état . En tout cas merci à Sébastien et à tous les témoignages. A +
Cet article me redonne de l espoir… je suis heureuse d’etre tombée sur votre blog! J ai parcouru quelques un de vos articles et ils sont tellement inspirants que je vais me mettre a les lires et a m informer quotidiennement.
Je me permets de racontais mon témoignage, peut etre que certaines personnes de mon age et ayant le meme style de vie se reconnaitront…
Je vis des attaques nocturnes depuis 2 jours maintenant. Ceci est tout nouveau pour moi dû a leur intensité: vertiges, migraines, accélération cardiaque, impression d etouffement, fourmillements… une peur d evanouissement ou crise cardiaque! A faire perdre les pedales. Je suis allée voir un medecin et pourtant mon corps marche impeccablement a 100%. J ai toujours été en très bonne santé.
J’ai 22 ans et je suis un personne assez sensible mais forte, je voyage souvent, longtemps et j aime voyager a sac a dos et etre en rapport avec la nature, c est ma « drogue bien etre ». J ai souvent fais face a des situations de survie que j ai toujours bien gèrer (la débrouillardise est mon truc) et b ai toujours éte on the move, marchant et vagabondant de droitz a gauche. La vie hippie est tout a fait pour moi. Cependant en Septembre dernier, j ai decidé de reprendre mes etudes pour une année a l etranger (Dublin) et depuis le debut de mon année scolaire, rien ne va. Une anxiété, ou plutot un stress assez recurent est apparu depuis quelques semaines. Differents facteurs sont en cause: je me suis rendue compte que je me suis trompée de voie et que je faisais quelque chose que je n apprécie pas, je ne suis pas financierement indépendante et il s avere que j ai des problemes financiers en plus que le cout de vie soit extrement cher dans ma ville d adoption, je suis tres sensible a mon environnement et du coup le temps en Irlande ne m est pas du tout favorable… je vis donc dans un contexte qui ne me plait pas et qui n est tout simplement pas fait pour moi bien que les irlandais soient accueillants, chaleureux et qu il y est une bonne ambiance internationale.
En l espace de 3 mois, j ai totalement changé. Je ne suis plus la personne positive, motivée, indépendante et aventureuse que j etais. Mon visage et sourire sur les photos sont differents. Je laisse facilement place a des pensées négatives. Je ne faisais des lors pas de crises de panique, ou du moins tres minimes au debut, juste de la tachycardie. Entre temps j etais rentré en France et mon médecin m avait prescri du magnésium pour reduire mon anxiété. Ca a très bien marché et je n ai plus refait de crises pendant les dernieres semaines.
Cependant j’ai fini mon traitement 1 semaine plus tot. Mercredi dernier, le jour de mon retour en France, j etais nouée et stressée. Pourtant j attendais ce jour avex impatience et j etais tellement contente de rentrer pour Noel. Epuisé par la journée, j acceuillais cette premiere nuit de vacances avec plaisir. C est a partir de cette nuit que les attaques nocturnes ont commencés. Une chaque nuit. La premiere a été un tel choque que j ai bien cru faire une crise cardiaque. Je faisais deja pas mal d insomnie, et en me réveillant a 5h du matin a cause de cela, l angoisse est montée petit a petit jusqu’à partir en crise. Cela a pris 5 min et il m a fallu 1h30 pour que tout disparait. En resulte une grande fatigue et la nuit d apres a été certes difficile mais mieux. J avais qielques apprehensions que j ai essayé de controlé et J ai pu dormir 8 h avant de refaire un crise, que j ai cependant pu mieux apprivoiser.
Suite a tout cela, j ai décidé de faire une seance avec un psychologue pour explorer mes options et en apprendre plus sur ce mal etre. Etant tres ouverte d esprit, je fais confiance aux « medecins psychiques » et j ai hate de decouvrir ce qui va en decouler. Il ne faut pas hesiter a en parler autour de sois, j en ai directement parler a mes parents et ils m aident comme il le peuvent bien que je sois assez mature pour le prendre en charge, un soutien est toujours nécessaire. Ce cercle vicieux peut rendre la vie impossible et peut arriver meme au plus fort psychologiquement parlant.
Je n ai pas encore trouvé « le » ou « les » astuces qui me sont propres et qui m aideront a avancer, comme le yoga dont la pratique me faisait du bien dans le passé. Je pense que cela se trouve avec le temps et en fonction de la personnalité. Je vais d ailleurs scruter vos articles a propos des differents types de relaxations et autres. Je pense que je vais faire de la marche en montagne par ailleurs, le grand air fait toujours du bien :)
Merci pour cet espoir que vous procurez a tous ceux qui vivent ce problème ou aux proches qui ne savent pas comment approcher le problème. Besu travail!
Le témoignage de chacun est tout aussi bénéfique, on se sent directement moins seul et cela nous aide a relativiser :)
Désolée mais burnout et dépression n’ont rien en commun. J’ai eu les deux et les mécanismes déclencheurs tout comme les effets sont différents. On peut avoir une dépression sans épuisement. Il faut être épuisé pour le burnout. Dans un cas les surrenales produisent trop de cortisol dans l’autre pas assez. Les études actuelles montrent bien les différences entre les deux pathologies.
Merci pour ces précisions, si elles sont validées par les études alors vous devez avoir raison.
Merci pour cet article !
C’est très intéressant votre article! Et chouette aussi ;)